Re: Création Fédération Française d'Airsoft
Publié : jeu. juin 16, 2011 12:31 am
Je vais vous démontrer que l'article n'est pas si anodin que ça et qu'il cache plus de sous-entendus qu'annoncé.
En premier, l'association dès le titre arme et braquage. On peut braquer sans arme et de même avoir une arme sans braquer les gens. Déjà dans la tête des gens ça crée l'amalgame arme= braquage= crime.
Ensuite, la formulation "nombre croissant" et "loi qui tarde" qui font naître un certain malaise chez le lecteur ainsi qu'un sentiment d'insécurité. Les criminels sont partout et plus nombreux encore et la loi incapable d'enrayer le phénomène, pour le moment...
Rien que les 5 premières lignes le ton est donné: insécurité, menace constante et en augmentation, impunité.
Ensuite 2 cas d'individus tués à cause d'une arme factice, séparés de 3 ans ! Avec un ratio de 1 tué tous les 3 ans, faut-il une loi? Des faits divers sur des chiens qui tuent des enfants ou des mères qui congèlent leurs nouveaux-nés sont plus récurrents que ça. Le but est de créer un amalgame, que ces individus sont dangereux et qu'ils ont été abattu en fonction de cette même "dangerosité". Toujours plus pour faire croître le sentiment d'insécurité. Rendez-vous compte, déjà 2 personnes tuées à cause des répliques d'airsoft ! Voyez c'est le mal, par contre ne regardez pas les dates, il y a 3 ans d'écart entre...
Ensuite, les chiffres sur les braquages, sur 3500 braquages, 2000 réalisés par des répliques. Arme à blanc? Factice de fabrication denix? On n'en sait rien, juste que les armes sont factices. Le journaliste fait bien attention de ne pas surligner que restent 1500 braquages réalisés avec de vraies armes capables de tuer pour de vrai.
La question rhétorique: à qui la faute? Nan pas à notre électorat voyons, pas les armuriers qui sont souvent chasseurs et de droite. Nan ce sont les airsofteurs.
On appréciera et on relévera les guillemets quand il écrit "loisir", "ce loisir" comme si c'était une abération humaine de jouer à la guéguerre avec des faux fusils. Les guillemets dénotent un sarcasme, une ironie et une certaine déconsidération de l'airsoft qu'il tente de faire communiquer au lecteur. L'airsoft n'est pas un "loisir", c'est autre chose. Quoi? mystère et boule de gomme. On soulignera aussi le verbe "tenter" quand il écrit que "les joueurs tentent d'en fixer les règles". Pourquoi tenter? on y arrive très bien non? Le braqueur était un airsofteur qui a sorti sa réplique des parties dominicales pour aller attaquer la bijouterie? Non, il a acheté la réplique dans le but de faciliter son méfait mais en aucun cas il faisait de l'airsoft. Un "dérapage"? Dérapage il y a si un mec en sortant d'Op va au MacDo en treillis avec encore son PA dans le holster, mais aucun de nous n'est assez cons pour se balader chaque jour avec sa réplique sur soi. Donc second amalgame airsofteurs= criminels qui dérapent...
Comme d'habitude, un socialo qui se penche sur la question et qui ne fait rien (bouh méchants socialos !) et qui préconisent rien, contrairement à notre journaliste préféré qui propose l'interdiction totale ! En citant au passage le fait divers d'un braqueur qui casse son jouet contre une vitre...
Pourquoi citer l'exemple anglais? Franchement on se pose la question, on est un des rares pays qui n'obligent pas à avoir le bout du canon peint en rouge donc déjà il aurait pu proposer ce système ou alors parler du Canada, pays francophone en plus, où les répliques sont transparentes. Allez braquer un macDo avec une M16 transparente... Nan il cite le modèle anglais, interdiction totale ! Il cite toutefois et c'est à son honneur que cela n'a réduit en rien la criminalité mais qu'elle a augmenté de 2%.
On récapitule. Dès le début arme= danger car braquage. Une arme ne sert qu'à cela voyons. Naissance d'un sentiment d'insécurité, amplifié par l'augmentation constante de la criminalité (mot associé dans le texte avec armes factices) et une loi incapable d'empêcher cela.
On souligne le sentiment d'insécurité par la mort de 2 braqueurs abattus par la police dans des intervalles de temps si conséquent que cela relève du fait divers que du fait de société. Mais bon ca encourage l'amalgame arme=danger, la preuve y a eu mort d'hommes...
Et on repasse une couche de confiture avec les chiffres des braquages, les 2 tiers commis avec des faux. Donc en 5 lignes, on trouve mort d'hommes, 2000 braquages et tout de suite après airsoft. Quel rapport?
Le rapport s'établit comme ça: morts d'hommes+ 2000 braquages= airsoft. Oui dans l'autre sens c'est mieux mais c'est moins insidieux et donc moins efficace.
On pose la question, qui est responsable? La question est rhétorique, c'est soit celui qui vend ou soit celui qui s'en sert. Et l'article se fait le défenseur de l'armurier qui vend des répliques. Sa bonne foi? L'étiquette qui dit qu'il faut pas diriger l'arme vers autrui. C'est que donc la responsabilité va à celui qui s'en sert. Mais pour celui qui connait rien à l'airsoft, qui s'en sert? Ben les mecs énoncés quelques lignes plus hauts, les airsofteurs. Voilà les coupables, ils détournent les règles d'utilisation légales pour braquer... Et on en remet une louche avec les guillemets sur "loisir", la chasse est un loisir, la pêche aussi, mais l'airsoft non. Comme quoi il vaut mieux tuer des animaux que se tuer pour de faux. L'auteur ne reconnait absolument pas le titre de loisir à l'airsoft vu qu'il le met entre guillemets, comme si c'était un truc soumis à caution ou à validation, mais qu'actuellement on ne sait pas ce que c'est, un extra terrestre dans le monde du loisir sans guillemet.
Preuve que ces airsofteurs sont des délinquants en puissance, ils n'arrivent pas à se fixer des règles pourtant simples (ne pas se balader avec sa réplique, ne pas la pointer sur des flics... Faut être con pour pas savoir ça et apparemment l'airsofteur l'est vu qu'il y a eu 2 morts déjà...) et conspuent "chaque dérapage". Le mot dérapage est intéressant, il n'écrit pas détournement du but premier qu'est le loisir, ni acte isolé, mais dérapage. Celui qui dérape c'est celui qui n'a pas fait attention, a manqué de vigilance, bref celui qui s'est fait attrappé. Or est-ce le but de l'airsoft que de braquer les commerçants? Nan, alors pourquoi parler de dérapage? Les airsofteurs ne sont pas responsables si des criminels décident d'user de répliques pour braquer de même que le cuisinier n'est pas responsable si des gens tuent avec des couteaux de cuisine... Mais là l'airsofteur dérape, et il insiste sur "chaque dérapage", c'est à dire qu'il y en a eu d'autres, et qu'il y en aura certainement d'autres. Et qu'à chaque fois ce sont des dérapages, en associant la FFA à chaque dérapage, donc ce n'est plus l'airsofteur lambda ou celui qui jou en sauvage mais là c'est tout le monde, toute la profession qui est mise en cause. Donc l'équation se réécrit arme factices= airsoft= mort d'hommes + braquages (2000) / couvert par association FFA qui déplore les "dérapages".
Après l'équation vient la solution: des sanctions? Pourquoi pas éducation? Pourquoi pas formation? Pourquoi pas découverte de l'airsoft comme les meetings airsoft? Nan il parle de sanction, tout de go, alors qu'il pourrait parler d'initiation à l'airsoft, de contact entre les autorités et les joueurs, histoire de montrer aux uns ce qu'est un jouet et à l'autre ce qu'est la loi. Nan il faut des sanctions, aucune autre solution possible. Comme il est de droite, il cite un laxiste PS qui dit que ce serait pénaliser les méchants airsofteurs qui sont gentils en fait qui se met totalement en porte à faux avec l'équation et le ton non sécurisant du texte (ça renforce la haine envers le socialo, ce laxiste qui fait rien pendant qu'en face ça tue et ça braque, le laxisme revient souvent chez les gens de droite pour qualifier la gauche) et là pour enfoncer le clou il ajoute l'exemple d'un énième braquage réalisé à l'arme factice qui a échoué, sûrement un dérapage de plus... Donc la solution du PS qui est de rien faire visiblement ne sert à rien vu que...
Et la solution arrive peu après, celle proposée par la droite: interdiction totale ! La preuve, nos voisins le font, avec un peu de succès en plus.
Le lecteur peu attentif concluera donc que l'insécurité augmente, que la loi ne fait rien contre faute de texte de loi approprié, que armes factices= braquages et mort. Vient ensuite un rapport ahurissant avec l'airsoft, tout en dédouanant les armuriers qui ne sont pas responsables au passage du mésusage des répliques pourtant clairement indiqué, donc airsofteur= armes factices et armes factices= braquages et mort. Donc airsoft = braquages et morts. Sophisme renforcé par le fait que ce n'est pas un loisir (à cause des guillemets), que les joueurs tentent mais ne réussissent en rien à se réguler (donc il faut une loi?) et qu'en plus ils ont une FFA quasi impuissante qui couvre les dérapages en les déplorant. Si avec ça le lecteur n'a pas une piètre opinion de l'airsoft, c'est à n'y rien comprendre...
Donc on a vu qu'il fallait une loi? Que propose l'opposition? Rien, bouh pas beau, c'est nul, aux chiottes l'arbitre. Qu'ont fait nos voisins ultra libéraux et réac (les Anglais)? Interdiciton totale. Ben voilà la solution, pardon l'hypothèse la plus radicale, ce qui veut dire la manière forte à l'opposé de la manière douce proposé par le PS qui n'a pas fait ses preuves. Dialoguer, découvrir, initier? Ca ne fait même pas partie des propositions. C'est une demande de reddition sans condition.
Si malgré tout ça vous ne voyez pas un plaidoyer CONTRE l'airsoft dans cet article...
En premier, l'association dès le titre arme et braquage. On peut braquer sans arme et de même avoir une arme sans braquer les gens. Déjà dans la tête des gens ça crée l'amalgame arme= braquage= crime.
Ensuite, la formulation "nombre croissant" et "loi qui tarde" qui font naître un certain malaise chez le lecteur ainsi qu'un sentiment d'insécurité. Les criminels sont partout et plus nombreux encore et la loi incapable d'enrayer le phénomène, pour le moment...
Rien que les 5 premières lignes le ton est donné: insécurité, menace constante et en augmentation, impunité.
Ensuite 2 cas d'individus tués à cause d'une arme factice, séparés de 3 ans ! Avec un ratio de 1 tué tous les 3 ans, faut-il une loi? Des faits divers sur des chiens qui tuent des enfants ou des mères qui congèlent leurs nouveaux-nés sont plus récurrents que ça. Le but est de créer un amalgame, que ces individus sont dangereux et qu'ils ont été abattu en fonction de cette même "dangerosité". Toujours plus pour faire croître le sentiment d'insécurité. Rendez-vous compte, déjà 2 personnes tuées à cause des répliques d'airsoft ! Voyez c'est le mal, par contre ne regardez pas les dates, il y a 3 ans d'écart entre...
Ensuite, les chiffres sur les braquages, sur 3500 braquages, 2000 réalisés par des répliques. Arme à blanc? Factice de fabrication denix? On n'en sait rien, juste que les armes sont factices. Le journaliste fait bien attention de ne pas surligner que restent 1500 braquages réalisés avec de vraies armes capables de tuer pour de vrai.
La question rhétorique: à qui la faute? Nan pas à notre électorat voyons, pas les armuriers qui sont souvent chasseurs et de droite. Nan ce sont les airsofteurs.
On appréciera et on relévera les guillemets quand il écrit "loisir", "ce loisir" comme si c'était une abération humaine de jouer à la guéguerre avec des faux fusils. Les guillemets dénotent un sarcasme, une ironie et une certaine déconsidération de l'airsoft qu'il tente de faire communiquer au lecteur. L'airsoft n'est pas un "loisir", c'est autre chose. Quoi? mystère et boule de gomme. On soulignera aussi le verbe "tenter" quand il écrit que "les joueurs tentent d'en fixer les règles". Pourquoi tenter? on y arrive très bien non? Le braqueur était un airsofteur qui a sorti sa réplique des parties dominicales pour aller attaquer la bijouterie? Non, il a acheté la réplique dans le but de faciliter son méfait mais en aucun cas il faisait de l'airsoft. Un "dérapage"? Dérapage il y a si un mec en sortant d'Op va au MacDo en treillis avec encore son PA dans le holster, mais aucun de nous n'est assez cons pour se balader chaque jour avec sa réplique sur soi. Donc second amalgame airsofteurs= criminels qui dérapent...
Comme d'habitude, un socialo qui se penche sur la question et qui ne fait rien (bouh méchants socialos !) et qui préconisent rien, contrairement à notre journaliste préféré qui propose l'interdiction totale ! En citant au passage le fait divers d'un braqueur qui casse son jouet contre une vitre...
Pourquoi citer l'exemple anglais? Franchement on se pose la question, on est un des rares pays qui n'obligent pas à avoir le bout du canon peint en rouge donc déjà il aurait pu proposer ce système ou alors parler du Canada, pays francophone en plus, où les répliques sont transparentes. Allez braquer un macDo avec une M16 transparente... Nan il cite le modèle anglais, interdiction totale ! Il cite toutefois et c'est à son honneur que cela n'a réduit en rien la criminalité mais qu'elle a augmenté de 2%.
On récapitule. Dès le début arme= danger car braquage. Une arme ne sert qu'à cela voyons. Naissance d'un sentiment d'insécurité, amplifié par l'augmentation constante de la criminalité (mot associé dans le texte avec armes factices) et une loi incapable d'empêcher cela.
On souligne le sentiment d'insécurité par la mort de 2 braqueurs abattus par la police dans des intervalles de temps si conséquent que cela relève du fait divers que du fait de société. Mais bon ca encourage l'amalgame arme=danger, la preuve y a eu mort d'hommes...
Et on repasse une couche de confiture avec les chiffres des braquages, les 2 tiers commis avec des faux. Donc en 5 lignes, on trouve mort d'hommes, 2000 braquages et tout de suite après airsoft. Quel rapport?
Le rapport s'établit comme ça: morts d'hommes+ 2000 braquages= airsoft. Oui dans l'autre sens c'est mieux mais c'est moins insidieux et donc moins efficace.
On pose la question, qui est responsable? La question est rhétorique, c'est soit celui qui vend ou soit celui qui s'en sert. Et l'article se fait le défenseur de l'armurier qui vend des répliques. Sa bonne foi? L'étiquette qui dit qu'il faut pas diriger l'arme vers autrui. C'est que donc la responsabilité va à celui qui s'en sert. Mais pour celui qui connait rien à l'airsoft, qui s'en sert? Ben les mecs énoncés quelques lignes plus hauts, les airsofteurs. Voilà les coupables, ils détournent les règles d'utilisation légales pour braquer... Et on en remet une louche avec les guillemets sur "loisir", la chasse est un loisir, la pêche aussi, mais l'airsoft non. Comme quoi il vaut mieux tuer des animaux que se tuer pour de faux. L'auteur ne reconnait absolument pas le titre de loisir à l'airsoft vu qu'il le met entre guillemets, comme si c'était un truc soumis à caution ou à validation, mais qu'actuellement on ne sait pas ce que c'est, un extra terrestre dans le monde du loisir sans guillemet.
Preuve que ces airsofteurs sont des délinquants en puissance, ils n'arrivent pas à se fixer des règles pourtant simples (ne pas se balader avec sa réplique, ne pas la pointer sur des flics... Faut être con pour pas savoir ça et apparemment l'airsofteur l'est vu qu'il y a eu 2 morts déjà...) et conspuent "chaque dérapage". Le mot dérapage est intéressant, il n'écrit pas détournement du but premier qu'est le loisir, ni acte isolé, mais dérapage. Celui qui dérape c'est celui qui n'a pas fait attention, a manqué de vigilance, bref celui qui s'est fait attrappé. Or est-ce le but de l'airsoft que de braquer les commerçants? Nan, alors pourquoi parler de dérapage? Les airsofteurs ne sont pas responsables si des criminels décident d'user de répliques pour braquer de même que le cuisinier n'est pas responsable si des gens tuent avec des couteaux de cuisine... Mais là l'airsofteur dérape, et il insiste sur "chaque dérapage", c'est à dire qu'il y en a eu d'autres, et qu'il y en aura certainement d'autres. Et qu'à chaque fois ce sont des dérapages, en associant la FFA à chaque dérapage, donc ce n'est plus l'airsofteur lambda ou celui qui jou en sauvage mais là c'est tout le monde, toute la profession qui est mise en cause. Donc l'équation se réécrit arme factices= airsoft= mort d'hommes + braquages (2000) / couvert par association FFA qui déplore les "dérapages".
Après l'équation vient la solution: des sanctions? Pourquoi pas éducation? Pourquoi pas formation? Pourquoi pas découverte de l'airsoft comme les meetings airsoft? Nan il parle de sanction, tout de go, alors qu'il pourrait parler d'initiation à l'airsoft, de contact entre les autorités et les joueurs, histoire de montrer aux uns ce qu'est un jouet et à l'autre ce qu'est la loi. Nan il faut des sanctions, aucune autre solution possible. Comme il est de droite, il cite un laxiste PS qui dit que ce serait pénaliser les méchants airsofteurs qui sont gentils en fait qui se met totalement en porte à faux avec l'équation et le ton non sécurisant du texte (ça renforce la haine envers le socialo, ce laxiste qui fait rien pendant qu'en face ça tue et ça braque, le laxisme revient souvent chez les gens de droite pour qualifier la gauche) et là pour enfoncer le clou il ajoute l'exemple d'un énième braquage réalisé à l'arme factice qui a échoué, sûrement un dérapage de plus... Donc la solution du PS qui est de rien faire visiblement ne sert à rien vu que...
Et la solution arrive peu après, celle proposée par la droite: interdiction totale ! La preuve, nos voisins le font, avec un peu de succès en plus.
Le lecteur peu attentif concluera donc que l'insécurité augmente, que la loi ne fait rien contre faute de texte de loi approprié, que armes factices= braquages et mort. Vient ensuite un rapport ahurissant avec l'airsoft, tout en dédouanant les armuriers qui ne sont pas responsables au passage du mésusage des répliques pourtant clairement indiqué, donc airsofteur= armes factices et armes factices= braquages et mort. Donc airsoft = braquages et morts. Sophisme renforcé par le fait que ce n'est pas un loisir (à cause des guillemets), que les joueurs tentent mais ne réussissent en rien à se réguler (donc il faut une loi?) et qu'en plus ils ont une FFA quasi impuissante qui couvre les dérapages en les déplorant. Si avec ça le lecteur n'a pas une piètre opinion de l'airsoft, c'est à n'y rien comprendre...
Donc on a vu qu'il fallait une loi? Que propose l'opposition? Rien, bouh pas beau, c'est nul, aux chiottes l'arbitre. Qu'ont fait nos voisins ultra libéraux et réac (les Anglais)? Interdiciton totale. Ben voilà la solution, pardon l'hypothèse la plus radicale, ce qui veut dire la manière forte à l'opposé de la manière douce proposé par le PS qui n'a pas fait ses preuves. Dialoguer, découvrir, initier? Ca ne fait même pas partie des propositions. C'est une demande de reddition sans condition.
Si malgré tout ça vous ne voyez pas un plaidoyer CONTRE l'airsoft dans cet article...