Le contexte :
Le monde vit une époque troublée, entre les instabilités géopolitiques et les pandémies galopantes qui poussent les citoyens à s'enfermer dans la paranoïa et la méfiance de l'autre. Loin des appels à la solidarité lancés par l'ONU, les peuples du continent se déchirent entre communautés. Dans l'est de la France, la population s'est divisée en deux camps, chacun ayant fait appel à des troupes auxiliaires moyennant finance.
Venus des confins du Dawakistan, province des contreforts caucasiens aux vallées verdoyantes mais à l'économie moribonde, les guerriers dawaks ont traversé presque tout le continent européen, profitant de la faible résistance des armées nationales affaiblies par la lutte contre les menaces bactériologiques. A croire que ces farouches montagnards ne sont sensibles à aucun virus, ils ont bousculé tous leurs adversaires jusqu'à parvenir à l'ouest du Rhin, en direction des ports de l'Atlantique.
Arrivés dans l'est de la France, les colonnes dawaks se sont heurtées à un adversaire qui pour la première fois semble aussi coriace qu'eux.
Remontant l'Europe depuis le désert Marocain et les plaines arides de l'Andalousie, les troupes de la rébellion dite "du Sahara", tout comme les hordes mauresques du 8ème siècle, ont remonté toute l'Espagne, traversé les Pyrénées et déferlé sur le bassin de France en ravageant toutes les villes de Biarritz jusqu'à Reims, mettant toute la côte à feu et à sang. Augmentant leurs rangs de toutes les populations révoltées des banlieues urbaines, la rébellion à envoyé ses colonnes vers l'Est en direction de Strasbourg.
Les premières escarmouches ont eu lieu au sud de Nancy. Les guerriers dawaks, après avoir pillé Strasbourg, ont décidé d'envoyé en reconnaissance quelques uns de leurs éléments appuyés de troupes auxiliaires, en l'occurrence les miliciens magyars, se réclamant des compagnies noires des envahisseurs Huns de la fin du premier millénaire. Ils en adoptent d'ailleurs la couleur facilement reconnaissable. Chargés de reconnaître les abords au sud de Nancy avant de planifier l'invasion, cette troupe hétéroclite a rapidement repéré les premiers groupes rebelles, précédés dans certains secteurs de mercenaires occidentaux.
Quelques jours après ces premières rencontres, une course de vitesse s'organise pour être le premier à prendre les positions qui permettront de s'assurer du butin de la ville. Après plusieurs jours de lutte acharnée, la situation tourne à l'avantage des Dawaks et de leurs alliés qui mettent Nancy à sac. Mais dans un ballet étrange, les deux armées vont continer de s'affronter, chacune essayant de contourner l'autre en remontant toujours plus au nord. Le même scénario se reproduit ainsi sur Pont-à-Mousson, puis Metz, Thionville, Luxembourg, Maastricht, Eindhoven, Utrecht et jusqu'à Amsterdam. Un ligne de front s'est ainsi plus ou moins stabilisée, le long de laquelle chaque camp cherche une opportunité de prendre l'avantage sur ses opposants.
Lieu : le célèbre village de combat de Bainville sur Madon, à côté du fort de Pont Saint Vincent
Date : samedi 22 et dimanche 23 novembre 2014.
Effectif : 4 équipes, 80 joueurs au max.
Dress code : A l'origine de TeN, les 4 équipes avaient chacune un code vestimentaire précis.
Cette année, pour éviter tout risque de confusion et de mauvaise identification, nous intégrons dans le concept et dans la PAF un accessoire qui fera de cette OP un week-end comme rarement vu- Guerriers Dawaks = camo vert : OD, Centre Europe, Flectarn, Woodland... Aucun élément ne doit être ni noir, ni dans les tons déserts.
- Miliciens Magyars = tenues noires : tout noir donc, intégralement noir avec que du noir.
- Rébellion du Sahara = camo desert : Daguet, Desert digital, Multicam, ACU... Aucun élément ne doit être ni noir, ni dans les tons verts.
- Mercenaires = tenues civiles style contractor : jean ou pantalon civil non camouflé, haut uni, si possible coloré, équipement au choix. Une contrainte pour éviter toute confusion avec les autres équipes : pantalon, veste et équipement (gilet) doivent être de couleur différente, n'utilisez pas de noir, ni de vert kaki pour éviter les confusion pour tout ce qui est vêtement (un gilet tac sur un vêtement civil ne devrait pas poser souci).
Système de jeu : Les joueurs touchés (impact direct sur toute partie du joueur ou de son équipement, et d'où que vienne la bille) devra se déclarer touché vocalement ("out", "hit", "touché", "chui mort",...) tout en se mettant à genoux avec une main en l'air ou sur la tête, à l'endroit même où il a été touché (et pas à couvert 2 mètres plus loin). Il ne peut plus parler mais seulement appeler à l'aide.
Le joueur touché sera remis en jeu par l'intervention d'un "medic", portant une trousse de soin, qui devra nouer un brassard blanc au joueur à "soigner" autour du bras fort (celui qui tient le fusil pour ceux qui ne parle pas ce jargon
). Maxi trois bandes de soin pour un même joueur. Si ce maximum est atteint, le jouer part pour son point de remise en jeu (QG, hopital...) pour au moins 20 minutes de remise en condition : manger, boire, rendre les bandes de soin, recharger...Un joueur touché, donc à genou, qui serait touché de la main par un joueur de l'équipe adverse sera considéré comme "achevé" et donc renvoyer au point de départ (QG ou zone neutre en fonction du scénario en cours)
Restriction : Seuls les chargeurs d'une capacité inférieure ou égale à 100 billes seront acceptées pour cette partie, à l'exception d'un nombre limité de mitrailleuse type M249 ou M60 avec ammobox. Sinon pas de hi cap, pas de molette.
Puissances : Comme d'habitude chez nous, il est toujours bon de préciser :
- inférieur ou égal à 350fps : full autorisé toute distance, pas de distance de sécurité imposé au-delà de la courtoisie qui doit régner entre joueurs
- de 351 à 464 fps : coup par coup uniquement, distance de sécurité de 15 mètres.
ATTENTION : cette catégorie accepte uniquement :
- les bolts (culasse mobile)
- les AEG si et seulement si leur fonctionnement est bloqué en semi automatique (coup par coup uniquement) et que leur format les destine au snipe, donc des guns d'une longueur minimale de 100cm avec un canon d'une longueur minimale de 50cm.
- plus de 464 fps : dans le coffre !
Les tests seront effectués systématiquement en début de partie, hop up à zéro, avec des billes de 0.20g fournies. Des tests pourront être effectués en cours de journée si besoin ou réclamation. Une marge d'erreur de 5fps maximum est tolérée (donc 355 fps pour la première catégorie, 469 fps pour la seconde).
Les tentatives de fraude seront sanctionnées, les tentatives de négociation sont vouées à l'échec
PAF : 18€ par journée, participation aux frais comprenant l'accès au terrain, l'assurance, le matériel de l'organisation, l'eau et le repas de samedi soir.
Les inscriptions sont ouvertes dès aujourd'hui et sont à ce tarif jusqu'au 15 novembre, après cette date, les inscriptions tardives sont majorées de 5€.
Planning prévisionnel:
Samedi :
accueil à partir de 8h30 pour enregistrement, passage au chrony et gestion des petits soucis du quotidien
briefing à 9h45
début de jeu à 10h (voire un poil plus tard si y a plein de questions au briefing)
Jeu non stop de 10h à 18h.
Après 18h, nous proposons comme l'an dernier de faire une petite brocante / bourse d'échange si vous avez du matos d'occas' à vendre
19h, repas convivial en commun.
Dimanche :
accueil à partir de 8h30 pour enregistrement, passage au chrony et gestion des petits soucis du quotidien
briefing à 9h45
début de jeu à 10h (voire un poil plus tard si y a plein de questions au briefing)
Pause miam 12h00 - 13h.
Reprise du jeu à 13h, après rapide briefing pour les objectifs. Fin à 15h pour ceux qui ont de la route.
Le terrain est à nous pour le week end, des parties libres sont possible après cet horaire pour ceux qui veulent et qui n'ont pas de route à faire.
Inscriptions :
Inscription en ligne
